Bobigny

Biennale de l’Environnement, BOBIGNY – Pavillon de la biodiversité Urbaine

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Désignation

  • Pavillon de la Biodiversité Urbaine, Biennale de l'Environnement, Cité-Planète

SU

  • 150 m2

MO

  • DEV 93

Architectes Mandataires

  • Atelier d'Architecture et d'Urbanisme Marjolijn Boudry & Pierre Boudry

Scénographe

  • Patrick Chauvin
  • Le pavillon de la biodiversité urbaine : trois écrins pour comprendre, voir et s’amuser.
  • L’écrin d’osier : le développement durable et les connaissances.
  • Fait de fibres naturelles mises en œuvre de manière contemporaine, l’écrin décline la sobriété du vallon et ses qualités graphiques. Mais aussi ce que la nature nous apporte en terme de matériaux dans notre quotidien.
  • L’environnement et la nature ne se démodent pas.
  • Cet écrin, grâce à l’animation scénographique qu’il contient, introduit de manière ludique aux grandes notions de l’environnement.
  • L’écrin de verre : le vallon de la Courneuve et la découverte.
  • Transparence sur la nature, les parois de verre emballent et valorisent le patrimoine végétal du vallon de la Courneuve comme un cadeau. L’ensemble de la roselière amarrée à cet écrin est un extrait du vallon de la Courneuve.
  • La nature est une ressource précieuse dont il faut préserver les équilibres fragiles. Chacun de ces éléments rares, communs, dénigrés, pourchassés, a un rôle à jouer dans cet équilibre.
  • Cet écrin permet de poser son regard sur la nature et particulièrement sur l’environnement du vallon de la Courneuve.
  • L’écrin de métal : l’ouverture sur le monde et l’exploration.
  • L’écrin de métal est conçu selon le principe des filtres à air et des médias filtrants.
  • Il évoque ce que l’homme met en œuvre pour entretenir et soigner son environnement.
  • La biodiversité exige un environnement de qualité ainsi que la gestion de celui-ci.
  • Cet écrin, grâce aux bornes informatiques, donne la possibilité d’explorer des milieux naturels différents.